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L'herbe haute qui l'entourait se balançait doucement au rythme de la musique du vent.

Ce chat là galopait aussi vite que ses petites pattes le lui permettaient. Il fuyait, et il s'appelait Berlioz, des Aristochats.

Heu... J'ai oublié de préciser qu'il fallait reprendre à chaque fois les phrases d'avant...
Désolée.

''Un soir, alors que la Lune se levait au ciel, un chat d'ébène courait dans la lande baignée de lumière argentée. L'herbe haute qui l'entourait se balançait doucement au rythme de la musique du vent. Ce chat là galopait aussi vite que ses petites pattes le lui permettaient. Il fuyait, et il s'appelait Berlioz, des Aristochats. Il avait peur, très peur de l'ombre qui le poursuivait."

''Un soir, alors que la Lune se levait au ciel, un chat d'ébène courait dans la lande baignée de lumière argentée. L'herbe haute qui l'entourait se balançait doucement au rythme de la musique du vent. Ce chat là galopait aussi vite que ses petites pattes le lui permettaient. Il fuyait, et il s'appelait Berlioz, des Aristochats. Il avait peur, très peur de l'ombre qui le poursuivait. Il ne voulait pas se battre contre elle car il était lâche et traître, son instinct de chasseur voulait combattre mais pas son coeur.

''Un soir, alors que la Lune se levait au ciel, un chat d'ébène courait dans la lande baignée de lumière argentée. L'herbe haute qui l'entourait se balançait doucement au rythme de la musique du vent. Ce chat là galopait aussi vite que ses petites pattes le lui permettaient. Il fuyait, et il s'appelait Berlioz, des Aristochats. Il avait peur, très peur de l'ombre qui le poursuivait. Il ne voulait pas se battre contre elle car il était lâche et traître, son instinct de chasseur voulait combattre mais pas son coeur.

Berlioz vit un terrier de renard, apparemment inhabité et s'y réfugia, le cœur battant."

''Un soir, alors que la Lune se levait au ciel, un chat d'ébène courait dans la lande baignée de lumière argentée. L'herbe haute qui l'entourait se balançait doucement au rythme de la musique du vent. Ce chat là galopait aussi vite que ses petites pattes le lui permettaient. Il fuyait, et il s'appelait Berlioz, des Aristochats. Il avait peur, très peur de l'ombre qui le poursuivait. Il ne voulait pas se battre contre elle car il était lâche et traître, son instinct de chasseur voulait combattre mais pas son coeur.Berlioz vit un terrier de renard, apparemment inhabité et s'y réfugia, le cœur battant. Des tremblements incontrôlables s'emparèrent de tout son être,tant dis que des bruits de pas précipités se faisaient entendre au-dessus de lui."